Dubaï n’est pas que bling-bling !

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Milan siège de la mode, Paris ville lumière, Londres la City, New-York la ville qui ne dort jamais… Et Dubaï ? Adorée par les uns pour son côté “cosmopolite”, détestée par les autres pour son côté “artificiel”, l’émirat de 4114 km2 donne-t-il plus à voir que ses centres-commerciaux géants et ses grattes-ciels ? 

C’est la question à laquelle nous avons tenté de répondre en traversant le territoire, ses plages, ses quartiers phares, ses déserts, ses restaurants et ses parcs… Alors verdict !?

L’émirat de Dubaï, porte-t-il une culture ? 

Au delà de l’occidentalité évidente qui règle à Dubaï, la culture arabe au sein des émirats du Golfe persique reste bien traditionnellement ancrée et prégnante. L’arabité, portée par les locuteurs du dialecte khaliji par exemple, se dessine en filigrane de chaque construction et de l’agencement de la Cité-État géographiquement accoudée aux portes du désert. 

De toute évidence, impossible de nier le multiculturalisme de la ville, qui tend à une modernité toujours plus fulgurante et aspire à une puissance économique importante, une influence et prestige mondial. Premier pari réussi pour Dubaï qui sorti de sable il y a peine une poignée de siècle, délaissant (partiellement) le mode de vie bédouin pour une explosion totale : démographique, financière, sociale, infrastructurelle.

Si le shopping reste l’activité préférée des touristes sur place, il n’en existe pas moi d’autres horizons à explorer. Comme celui du désert. Par-delà les dunes, libre à chacun de choisir de rêver et s’évader lors d’un safari, de dormir sous une tente, à la belle étoile, dans les profondeurs de la nuit en admirant le ciel oriental, ses mystères et ses constellations. 

Prendre le temps de savourer un café arabe

Libre à chacun de choisir de flâner dans la vieille-ville, du côté de Deira, d’embarquer à bord d’une barque et, sur l’eau, imaginer ce qui a été, il a 5000 ans, une terre pleine d’histoire, recouverte de sable ardent. Du côté de “Dubaï Creek”, les 14 km de mer permettent de se plonger dans l’histoire des tribus bédouines, pêchant les perles et vivant des activités de culture et de bétail. 

Et pour ravire tous ses sens, s’asseoir en tailleur et déguster une tasse de café arabe traditionnel, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. Symbole de générosité, il se prépare de façon méticuleuse, par décoction et ses notes épicés de cardamome suspendent à elle seule le temps.

En pleine émulsion, Dubaï organisera, en 2020, l’exposition universelle. L’émirat vise les 20 millions de visiteurs cette année pour l’occasion. Dubaï bénéficie de l’économie est la plus diversifiée de la région et a su se hisser au top des destinations les plus prisées au monde. En 2018, elle a atteint le nombre record de 15,92 millions de touristes. N’en déplaise aux détracteurs de toutes les rives. 

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Le Maroc, Terres d’artisanat, Terres de Mâalems

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Prestige zellige. Laine de reines. Poterie, vannerie, cuir, métal précieux… Façonnés, taillés, polis, ajustés à la finesse des mains. Le savoir-faire marocain, internationalement connu, trouve ses lettres de noblesse, à sa genèse, chez ses mâalems. Parmi eux, furent, historiquement, les premiers habitants du Maroc, les Berbères. Ils initièrent les gestes précis de créations qui deviendront ancestrales. Faisant des objets indispensables du quotidien, de véritables oeuvres d’art, pratiques, beaux et utiles.

Précieuses traditions 

Les tapis en laine, tissé à la mains, les récipients d’argile venants accueillir l’eau, les céréales et les mets ou encore les parures d’or et d’argent portées par les femmes lors de grandes occasions en passant par les poignards d’argent portés en bandoulière, signes de haut rang… Tous témoignent d’autant d’exemples qui donnent au luxe une dimension humaine, multimatière et plurielle.

Chaque région du Maroc porte en elle une part de son identité et se pose en spécialiste d’un pan de l’artisanat marocain. Prenons comme exemple, Ouarzazate, où la fabrication des poignards remonte à plus de 800 ans. Les Berbères fabriquaient alors ces couteaux précieux comme moyen de défense, mais aussi esthétique masculin, partie intégrante de la tenue traditionnelle masculine, ornant l’“abernous”, le fameuse cape de laine à capuche. 

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »113″ img_size= »large »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Aujourd’hui, ces poignards amazighs, dit “tozzalte” se portent lors des cérémonies les plus cossues et des danses locales. De nombreux ateliers marocains se sont d’ailleurs spécialisés dans la préservation de cette tradition.

Aux soins des matières naturelles et nobles 

L’artisanat marocain se distingue par la variété de matières premières utilisées, chacune dans un objectif de rendu précis. Des matériaux naturels mis en valeur par une maîtrise technique hors pair. C’est le cas de la céramique.

Sous les soins des artisans potiers, dans la région de Safi (ouest marocain), l’argile constitue une ressource locale abondante. Il n’en fallu pas plus pour ses habitants pour se doter d’une expertise en la matière. L’argile y est modelé et ensuite cuite une première fois. l’objet est alors peint et le « biscuit » passe une seconde fois au four. Cette « double cuisson » donne un aspect verni et vif. Aux couleurs toujours plus vives et flamboyantes, à l’image de l’ADN de l’artisanat maghribî.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][/vc_section]

(Re)tours aux sources

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Jour 1 : Sur le canapé. Posé. Je regarde ce documentaire passionnant sur cette poignée de femmes berbères du Moyen-Atlas marocain. Elles en ont de la poigne.

De jours et de nuits, ces mains tisseuses de tapis… Les couleurs qui se mêlent et s’entremêlent laissent deviner les prémices de motifs graphiques et colorés. Grand-mères, mères, soeurs s’activent des Jours et des Jours… Et enfin. La magie opère. 

Le grand carré de laine tissé s’érige au centre du métier à tisser. Un savoir-faire. Une part d’Histoire. Emporté par ce mouvement de va-et-vient et de ces femmes, force de la nature et au talent certain, mes yeux se ferment doucement. Moi aussi, j’ai eu une grosse journée.

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Du Moyen-Atlas à sous mon canapé

Fatima la tisseuse de tapis est à mes côtés ! Dans mon salon.

Moi : Quoi ?! Comment est-ce possible, je crois rêvé. Je vous ai vu dans un documentaire hier sur Arte. C’était passionnant. Votre travail… C’est vraiment formidable ce que vous faites. Un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération… J’adore ce que vous faites.

Fatima : Merci, c’est gentil… Il vient d’où ton tapis ?

Moi (Sous mes pieds. Mon tapis IKEA un “SKARRESÖ” aux poils hauts. Gris.) : Celui-ci ? On l’a acheté à IKEA. Il allait bien avec le reste de la déco. 

Fatima : “IKEA”… Et qui s’est IKEA : qui l’a tissé alors ? Elle habite où ? Que raconte son motif ? Elle a travaillé avec ses propres fils de laine ? Où d’autres femmes l’ont aidée ? Elle tisse depuis combien d’années ? Qui lui a appris à tisser ? Elle est bien payée pour ce travail ? J’aimerai la rencontrer.

Moi : Alors là… Je… ne sais pas vraiment… En fait, IKEA, c’est une entreprise néerlandaise d’origine suédoise dont le siège social se trouve à Delft aux Pays-Bas, spécialisée dans la conception et la vente de détail de mobilier et objets de décoration prêts à poser ou à monter en kit. Moi ce tapis je l’ai acheté 139 euros. Pas trop cher pour un tapis non ? 

[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »62″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_column_text]Fatima : Quoi ?! Elle en a de la chance cette IKEA… Je vends mes tapis 5 fois moins cher. Quand j’arrive à les vendre. Mais je ne peux/veux plus vivre ainsi. 

Je me réveille. Mon tapis IKEA sous les pieds. Fatima a disparu. Autour de moi. Des tas d’objets ont une autre dimension. Je pense à Fatima et sa famille. Que va-t-elle devenir ? Ces enfants iront-ils à l’école cette année ?

Ce vase vert bouteille en porcelaine, cette nappe en toile, ce sac en cuir, et ses baskets à l’entrée… C’est dingue tout ce qu’on peut détenir comme objets finalement. Sans avoir la moindre idées d’où ils viennent, qui les a conçus ? De quelle façon ils sont arrivées chez moi. Dans mon salon. 

Et vous ? Vous savez d’où viennent vos biens ? Ba quoi ? Leurs Artisans ont-ils été rémunérés à la hauteur de leur travail ?  Vous les avez choisis pourtant. Pas si chargé d’Histoire finalement tous vos objets. 

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »101″ img_size= »full »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Jour 2 : Faire les bons choix pour tous 

Allez, je vais t’aider à y voir plus clair sur la chaîne de production. Si tu tapes sur Google « qui a tissé mon tapis SKARRESÖ ? » Il y a peu de chance que tu obtiennes réponse, on est bien d’accord.

Alors tu es au bon endroit, Ayyām te donne ce choix. Le choix de prendre le temps de faire les bons choix. Ici, chaque objet est unique. Une œuvre en soi. 

Pensé, conçu, aimé par son créateur pour te donner, à toi, acheteur, un véritable rôle dans ce cycle. Un passage, un transfert, un don. À travers le temps et l’espace. 

Ce tapis, cette montre, cette robe, ce sac, cette vaisselle, cette huile, ces chaussures, cette toile… tous racontent une histoire. Et une partie de la tienne. Et tous ceux qui ont contribué à faire en sorte qu’ils arrivent entre tes mains font partie de ton histoire.

Comment savoir si tous les acteurs ont été respectés dans la chaîne de valeur ? 

C’est là qu’Ayyām intervient. Nous sommes remontés aux sources de chacun des produits que nous avons sélectionné pour vous.

Nous vous informons et vous faisons voyager à travers notre plateforme pour vous permettre d’aller vous aussi à la source, depuis chez vous. 

La qualité, l’authenticité, l’éthique. C’est 3 mots représentent la clé de voûte de notre sélection par un comités d’experts auprès des Artisans, Créateurs, Producteurs. Notre maître-mot : la transparence. Pour que vous soyez enfin, Fiers de ce que vous achetez. 

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Qu’est-ce que le luxe ?

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Chanel, Hermès, Rolex… Les grandes maisons la Haute Couture et de l’horlogerie mènent en lettres d’or les palmarès des marques de luxe (re)connues à l’international. 

 Au volant de la dernière porsche cayenne, tailleur Dior et escarpins Jimmy Choo, fragrance Yves Saint Laurent… Voilà, elle/il a réussi dans la vie ! Alors oui, le trait est (à peine) grossi… Sauf que le consommateur de la classe moyenne a un smartphone. Et il rêve à suivre les pas de ces femmes et hommes fortunés ou bien nés. Laissant au placard, le goût frais et vrai de l’authentique… Le luxe, ça nous inspire bien ces quelques rimes :

 Un gentilhomme vit sa dulcinée, partir au bras de son ami plus aisé.
Drame en son âme que lui fit cette trahison,
Roméo partit s’enquérir de sa moisson.
Gravir les échelons, voilà la solution !

 Il fit une croix sur ses valeurs pour frapper monnaie d’or.
Rires de la Cour : que ce gentilhomme avait tort !
Imaginant qu’il suffisait d’une bourse bien remplie
Pour briller en société et être parmi les dandys. 

 Car pour entrer dans un cercle privé,
Ou même reconquérir sa bien-aimée,
Il faudra verser le sous sans compter,
Tout en faisant mine de n’en avoir rien à cirer. 

Morale de l’histoire : l’habit ne fait pas le riche. Le luxe c’est un dress code, mais aussi des codes sociaux. Le luxe n’est pourtant pas seulement synonyme de richesse. La valeur vient bien d’ailleurs. Certes, la société de consommation actuelle et le capitalisme poussés à leurs paroxysmes poussent les Hommes à n’accorder d’intérêt qu’aux biens matériels.

 

Vers un nouveau luxe !

Seulement si l’on décompose une identité de marque (de luxe ou pas), on a, d’une part, des éléments matériels : un logo, des produits, des investissements, etc. D’autre part, un modèle économique et surtout une image de marque. La visibilité et l’importance accordée vient avant tout de la valeur que lui accorde son consommateur. Il est au centre, acteur de la définition du luxe. 

 Chez Ayyam, nous avons choisi de mettre les projecteurs sur les produits d’exception, la qualité de leurs matières, leur caractère authentique, l’histoire qu’il y a derrière la création. Intemporel. Le voilà, le nouveau luxe. 

Et vous dites-nous ce qu’est-ce que le luxe pour vous ?

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